Grenoble - Véro in concert
(Friday 18th February 2000)


 

Grenoble 2000
(Merci beaucoup à Yann de Lyon pour son aide avec la traduction ) 


Dehors, il faisait froid vers 19 h, les gens qui sont arrivé tôt au Summum ce 18 février 2000 ont souffert par ce temps qui était digne du climat des iles d'Hebrides ( en Ecosse ). Le public de Véro était gelé, le dégel sera long, il devra attendre l'arrivée de celle qui pourrais faire fondre l'iceberg qui a causé le naufrage du Titanic ! Cette nuit là, elle a fait plus que cela... elle a fait fondre les coeur de son public grenoblois. 

Le summum est une salle disposant d'une acoustique excellente et cette salle à été concu pour que le public puisse assister au spectacle d'une manière optimum. Ce soir là, Véro et son équipe ont été parfait. Aujourd'hui, lorsqu'elle est vétue d'une veste en cuir violet ( il est unique, inutile de le chercher, vous ne le trouverez pas ) pour faire son entrée, celà ne surprend plus. Mais lorsqu'elle nous sourit, qu'elle se frotte les mains et qu'elle s'asseoit pour nous régaler des chansons de Michel Berger, c'est un véritable délice. 

Sa voix était plus forte que jamais, et il n'est pas commun de voir Véro accompagnée d'un quarantaine de cordes derrière elle. L'ouverture du spectacle s'est faite avec des chansons douces qui ont permis au public de pouvoir savourer ce moment, tranquilement au fond de leur fauteuil. Mais ensuite, selon la troisième loi St Paul des transfert des cardio-émotion, on attendait l'ébullition du public ( Véro même attendait cela vu qu'elle est un fin cordon bleu ). Mais le public n'a pas eu envie de se déchainer, de sauter et de se lever, la salle absorbait tout dans un abîme. Seul trois exceptions se déchainaient, mais malgrè la présence d'une étincelle, le public ne tournait pas. Véro travaillait dur, sa performance défiait les dates hyper-chargée de sa tournée pour les 3 mois à venir. Chaque chanson était écrite sur le visage de Véro, les couplets et refrains venaient du coeur. 

Grace à mes jumelles, j'ai pu voir les expressions de son visage et lorsque l'on voit le papillon s'adresser à l'étoile, cela rend humble et respectueux de celle qui dégage son énergie et ces sentiments devant nous. 

Martin Dubrowski se charge de prendre le spectacle en charge, ce qui permet à Véro de se changer, elle reviendra vétue de noir, très à l'air, elle dénudera même ces épaules en ottant ce costume d'étoile. Un petit quelque chose vient de passer, c'est inédéfinissable, le public s'est enfin décidé à s'amuser car il sent venir la fin. Les musiciens n'avaient pas trop solliciter jusque là le public, mais c'est l'heure de leur rappeler qu'ils ont des jambes en bonne santé. Le papillon est revenue et en l'espace de quelques secondes, le public a été totalement deshinibé, le summum était en effervescence. Il est ressortie de la dernière demi-heure du spectacle, tout un concert d'enthousiasme. 

Après une performance étonnante de ses versions de " Peut-être toi, peut-être moi ", "Lumière du jour" et " Pour me comprendre ", elle nous chante Diego, le paradis blanc et le public a pu se mettre à chanter avec la belle. Lorsqu'elle nous quitta ( et qu'elle risqua de se casser la figure sur une guitare ), Nigel Jenkins nous a admirablement joué le solo "Dawayne Bailey". 

Même Richter serait venue écouter cette merveilleuse version s'il l'avait pu. Véro revint sur scène. Le public lui demandait de se rasseoir au piano, elle s'est excécuter et nous a chanté quelques mots d'amour. elle fut couverte d'applaudissements, le Summum était un océan de main levées. Elle appela ses musiciens pour un " au revoir ". 

Au revoir Neal, Lee, Hervé et tout les autres. Véro était épuisée, après nous avoir donné son coeur, elle a du s'allonger sur son sofa. Le public a puisé son énergie. Souvent, on voit le nom de Véro avec une faute type "Samson" ( ou pourquoi pas " Samsung " ), mais pour une fois, la mauvaise orthographe était bien choisi. Sa puisance et son élégance était à Grenoble ce soir là, et elle sera dans les autres villes lors de ces prochaînes semaines. Le voyage d'une des "touristes" de France , la plus travailleuse et la plus aimée vie aujourd'hui vers un nouveau jour.

It was cold outside, around 19h, and this was the night that early arrivals to "Le Summum" had to endure a weather front more usually seen in the outer Hebrides! The crowd was in "deep freeze", and the thaw would be a long one, but as we know, Véro could usually melt the iceberg that sunk the Titanic! This night, she did more than that... she melted the hearts of that same capacity audience.
But really, Grenoble is a venue which throws up so many questions. The Summum has all the ingredients to make a concert work from the opening note.

The layout and acoustics are both top stuff, and this evening Véro and her team had got everything exactly right. Moreover, Véro's voice sounded stronger than ever, and was pitch perfect... good enough to record a live album straight from the sound desk. A now familiar entrance, in a purple leather suit (impossible to find on any highstreet), a beaming smile whilst waving to the crowd, and quick rub of the hands, then Véro sits down to do her work! 


I guess it's true... for many people in the arena, they don't get to see Véro singing with a full string-orchestra so often. The concert's opening with some slower extracts from Véro's '99 album gives the audience the perfect excuse to sit back, relax, and enjoy. Too right in a way. But after a couple of numbers, according to St-Paul's third law of cardio-emotional transfer, the crowd should have started to simmer a little. (Even Véro could tell you that - I hear she's a good cook!). What had happened to "Le Summum"? Sometimes, one can sense that a crowd is bursting to jump up... but tonight the audience was just soaking it all up into an abyss. In fact, there were about 3 exceptions to this general observation (!!!) but although there was a spark in the crowd, the audience didn't fire. 

Véro was working hard, even though the performance was defying the awesomely loaded schedule of dates over these three months. Every song was written on Véro's face, as if the words are torn out of her heart. Watching her sing, from my binoculars, was a humbling experience, out of respect of all the energy and feeling so vividly on display. 

Back in the spotlight, Martin Dubrowski turns the concert into its second phase, while Véro takes her "change of costume" eclipse... and out she comes in all black. In fact Véro seemed extremely relaxed on stage tonight, teasingly bearing her shoulders from under her magnificent leather glittering "étoile" suit. That little something happened; you can't define it, but the audience realised that the concert was fast slipping away, and it was about time we had some real fun! 

The stage musicians had been coaxing the audience until then to remember that most of us have been blessed with a pair of healthy legs. Suddenly came the butterly which landed that broke the camel's back... and it became a race for the front of the stage. In a few seconds, all inhibition had gone: the Summum was thundering! As if a whole concert of enthusiasm was now erupting out in the final half-hour of the show. 

After the earlier radiant performances of "Peut-être toi peut-être moi", "Lumière du jour" and "Pour me comprendre", now along came the blast of Paradis Blanc, Diego libre dans sa tête, and the "aftershock" echoing back from the crowd. Véro steadily walks off (being careful not to trip over the guitar player's effects pedals!) during the familiar "Dawayne Bailey" solo here being performed admirably by Nigel Jenkins at the forefront of the stage. 

By this time Mr Richter, had he been alive, would have been rushing to the scene. But even Véro couldn't stay away... "just one more" she signalled... and one more "Quelques mots d'amour" she sang. The reception was universal: Le Summum was a sea of hands and an avalanche of cheers. Véro called her musicians back on stage for a thoroughly deserved rapturous send-off! Bye Lee, Neal, Hervé and Co. Véro, wiped out with exhaustion, and signalling that she'd given her heart, was visibly ready to collapse onto her sofa... but then again, the audience was now returning the energy back to her. People often miswrite Véro's name "Samson"... but in this case it was truly appropriate. Her strength and reverence were not spared Grenoble on this Friday night... she somehow finds that will to carry on: The journey of one of France's best loved and hardest working "tourist" lives from today to another day...

 

[Concerts]  [Odeur de Neige]

 

Revised: July 01, 2002.