Plus blonde encore sous le feu des projecteurs, Véronique, c'est avant tout une voix, chaleureuse, sincère, une musique aussi transformée, enrichie, reinterprêtée toujours avec un coeur grand comme ça. Ses cheveux lui collent au front, elle les rejette avec impatience. Le piano,  c'est son âme. Elle y allie une folie de frappe étonnante, des accents déchirants de violence à une fragilité qui ement.
Au dernier accord, elle se penche, le front sur le piano, le sos courbé (inquiétudes dans la salle)... mais non!  Elle se redresse, nous sourit, hurle un grand "merci!"  (Soulagement - bonheur dans la salle).
Anne-Marie

J'étais impatient de voir sur scène elle qui occupe la première place de mes goûts musicaux. J'ai trouvé les musiciens excellents et il faut dire aussi que la qualité du son était extra. Mais lorsque Véro est apparié, je dois avouer que j'ai été impressionné par sa beauté. Les photographes ont toujours tendance à améliorer le physique de leurs modèles et je ne m'attendais pas à la voir si belle en réalité. Après le spectacle, j'ai entendu certaines personnes lui reprocher de ne pas parler beaucoup et de ne pas bouger suffisamment sur scène. Je trouve personnellement que son jeu de guitare de piano (difficiles à allier à des "mouvements de scène") comblent plus que largement cette "lacune". D'ailleurs elle a "bougé" dans des chansons comme "Cent fois", "Mariavah", "On m'attend là-bas" et surtout "Celui qui n'essaie pas" où le public dansait debout avec elle. Elle est même venue danser le "French cancan" au rythme des rappels!
Richard